Agneau - Deux marques pour rester optimiste
Si la concurrence anglaise qui avait motivé les éleveurs à créer l’Agneau du Poitou-Charentes et le Diamandin, n’a pas disparu, les deux marques ont permis à l’élevage de la région de perdurer.Comme pour toutes les fêtes d’anniversaire, le GIE Ovin du Centre Ouest avait invité, vendredi dernier, sa famille (éleveurs et représentants du monde agricole) et ses amis (abatteurs, grossistes, bouchers, élus, et autres acteurs économiques). Pas moins de 300 personnes avaient fait le déplacement pour souffler deux gâteaux d’anniversaire : celui de l’Agneau du Poitou-Charentes, qui fêtait ses 30 ans, et celui du Diamandin qui fêtait ses 20 ans. Deux marques regroupées au sein de l’association de promotion de l’agneau de pays (APAP), qui compte aujourd’hui 850 éleveurs, 25 fabricants d’aliments, 7 abatteurs, 60 grossistes et plus de 500 points de vente, qui permettent la commercialisation annuelle de 110 000 agneaux avec certificats de garanties d’origine. Une «filière solide» comme l’a souligné Yves Gargouil.
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