La génétique, une sécurité pour l’exploitation
Dès son installation en 1986, Bruno Fournier s’est lancé dans la génétique. Pour lui, l’élevage n’existe pas sans génétique. Un choix qui, aujourd’hui, est une sécurité financière.

Passionné de normandes, Bruno Fournier ne s’imaginait pas à la tête d’un élevage sans la génétique. «Dès mes études, la génétique m’intéressait. A la tête de mon élevage, j’ai fait le choix d’aller jusqu’au bout de la chaîne», souligne l’éleveur installé à Chassiecq (Charente) en 1986. Nourries principalement par les aliments de la ferme (fourrage, foin, orge et maïs sur une SAU de 175 ha) et complémentées par des correcteurs azotés et de la luzerne déshydratée, ses chèvres ont des taux autour de 42 TB et 35 TP et une production annuelle entre 950 et 1100 kg selon les années. «Son niveau de production est assez élevé, Bruno a de très bons résultats», relève son conseiller reproduction à Coopavenir, Cédric Desémery.
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