Viticulture : S’engager dans le référentiel viticulture durable, un atout à ne pas négliger
Florian Mossion, viticulteur de Chenac, a participé à une formation «Référentiel viticulture durable». À ses yeux, cette démarche comporte de nombreux avantages.

Voilà bientôt deux ans que la filière cognac a mis en place le référentiel viticulture durable, avec pour but «de diffuser et valoriser les bonnes pratiques dans le vignoble». Début août, plus de 1526 viticulteurs étaient engagés dans cette démarche, à l’image de Florian Mossion, de la SCEA le Champ des vignes, à Chenac-Saint-Seurin-d’Uzet (37 ha de vignes et 30 ha de céréales). Le jeune viticulteur de 27 ans a participé en fin d’année 2017 à une journée de formation collective. «J’ai été accueilli par la maison Grand Marnier avec laquelle je travaille. Au cours de la journée, j’ai réalisé l’autodiagnostic du BNIC. Deux techniciens de la Chambre d’agriculture sont également intervenus. Nous étions une vingtaine de participants.»
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